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Rapport mondial sur l'emploi des femmes

Le rapport de la FIFPRO a étudié des joueuses dans leur équipe nationale ou dans la première division des championnats nationaux, dont l'Angleterre, la France, l'Allemagne, la Suède et les États-Unis.
L'enquête et le rapport, entrepris avec l'Université de Manchester, couvrent les salaires, les primes de tournoi, l'éducation, les gardes d'enfants, la discrimination et le trucage des matchs.
Le rapport mondial sur l'emploi des femmes 2017 Fifpro Women Football Global Employment Report Final
Nous passons d'un stade où nous étions reconnaissantes de pouvoir ne serait-ce que jouer, à un stade où nous réalisons que les choses pourraient et doivent être améliorées.

Fondamentalement, les conclusions servent de base à la FIFPRO pour poursuivre des réformes avec les associations de football nationales, continentales et internationales.
« Nous devons ouvrir la voie à des emplois plus sûrs et plus décents pour les footballeuses professionnelles » a écrit la membre du comité de la FIFPRO Caroline Jonsson, ancienne gardienne de la Suède en Coupe du Monde, conjointement avec le secrétaire général Theo van Seggelen dans l'introduction du rapport.

Depuis la publication du rapport :
- Nos associations de joueuses ont aide les équipes nationales à négocier de meilleurs salaires et conditions au Chili, en Finlande, en Irlande, au Danemark, aux Pays-Bas, en Nouvelle-Zélande, en Norvège et en Suède
- L'association de joueuses d'Argentine a aidé à mettre en place la première ligue professionnelle du pays, créant des contrats pour plus de 100 joueuses
- La FIFPRO a persuadé la FIFA de célébrer l'équipe des footballeuses de l'année, le World 11 féminin, sur la même scène que le World 11 masculin lors du gala The Best diffusé à la télévision chaque année
- La FIFPRO, représentant nos associations de joueuses, discute avec la FIFA de la configuration future du football féminin

C'est incroyable d'avoir toutes les joueuses du World 11 féminin ensemble sur scène aux côtés des hommes.
